AnimalZooFrance : Topic des news

Comme l'explique @sanderling, la juge d'instruction a juste fait "un peu" de zèle. Mais il n'y a, hélas, rien d'illégal dans la procédure.
L'excès de zèle vient d'elle.
Par contre, il y a bien pire, avec des propos mensongés dits à la juge d'instruction par Benoit Thomé.
[...]
Et j'en garde encore pour la suite ! On marche sur la tête avec l'intégralité de ce dossier !
D'accord merci pour les détails. Vive la justice à deux vitesses...
 
Merci de l'info Bojack.

En espérant vraiment que les choses vont mieux ce passé de ce qu'il est écris.
 
J'aimerais bien te dire oui, mais au vu de ce Benoit Thomé et Hélène Thouy ont marqué dans leurs courriers, on prend la direction qui est écrite :(
Tout est fait pour tenter de désamorcer mais pour le moment toutes les demandes sont restées sans réponse de leur part.
 
J'ai peur pour toutes les personnes incriminées dans l'affaire et qui n'ont rien fait d'illégal... Ce type est une belle ordure
 
C'est pas rassurant tout ca, sa démence grandirait elle à chacun de ses échecs ?
Je pense qu'il serait peut-être temps d'amener papy thomé dans un centre spécialisé pour malades mentaux, faut qu'il aille se faire soigner, je ne sais pas combien ils sont là haut mais c'est grave.

Ce type est une belle ordure

Une belle ordure ... C'est lui vouer encore trop d'estime.
 
Hey, il y a eu pas mal de nouveautés sur le blog d'AZF, notamment un super-graphique qui résume l'adoption de la nouvelle loi.

Je voulais revenir sur "la Corrida s'invite à l'Assemblée nationale" qui date du 17 novembre dernier.

Tout comme l'auteur de ce billet de blog, je suis tout aussi contre cette pratique sur le principe, toutefois, je doute fortement que la corrida soit une digue digne de protection.

Tout d'abord parce que la zoophilie est un tout autre débat qui n'a plus grand chose à voir avec la protection animale. Lorsque la PA n'arrivait pas à convaincre qu'il fallait protéger les animaux en tant que tels, ils ont pu détourner l'approche en invoquant la lutte contre les violences sexuelles en brandissant une pseudo prédisposition des zoos à être des pédophiles.
Aussi, cette interdiction répond à un besoin de trouver des réponses sur le débat social actuel du consentement sexuel, pour lequel on est en train de fixer des critères toujours plus hauts en réponse aux mouvement sociaux de lutte contre les violences sexuelles. Dans cette optique, la zoo créée le malaise, "ah oui, on peut posséder un animal, tout décider pour lui, et avoir des rapports avec".
En suivant ces deux approches avec les animaux, la question de la protection des animaux et de leur bien-être n'est même pas abordée, ce qui explique aussi pourquoi les interdictions en matière de zoo sont insensées si on les compare aux autres règles de PA.

Si l'on en revient à la question de la protection animale, l'interdiction de la corrida ne se justifie pas seulement par une certaine vision d'une dignité animale ou d'une dose de bien-être, mais simplement en application du principe d'après lequel on ne saurait infliger des souffrances inutiles à un animal, que ce soit en lui infligeant des douleurs physiques ou en le mettant à mort.
La pratique de la zoophilie, contrairement à la corrida, ne nécessite pas d'infliger des douleurs, ou de blesser un animal. Elle se distingue aussi par son but, qui peut être de partager un plaisir. Elle peut se conceptualiser en un rapport d'échange ce qui, en matière de corrida, n'est pas possible.
Cette même idée du rapport d'échange protège la possibilité de détenir un animal et de l'entrainer à faire telle ou telle activité. Cette idée que l'on peut mobiliser un animal à faire une chose qui potentiellement lui apportera une autre chose en retour protège notre modèle social actuel dans lequel on peut posséder un animal.
L'on interdira donc pas la possession d'un animal de compagnie ou l'équitation tant que l'on considérera que l'animal en tire quelque chose de bon en retour ; et il n'y a rien de tel avec la corrida.
 
Last edited:
Nouvelles concernant la procédure pénale pour doxxing engagée contre Mr. Benoit Thomé sur le blog d'animalzoofrance :

Il va falloir faire preuve de patience pour attendre les conclusions du juge, qui tomberont d'ici fin juin.

En 2012, les gens de la Zeta Verein avaient eu un problème similaire dans une affaire relative à une plainte pénale effectuée par un zoo pendant qu'un changement de loi état débattu en Allemagne
[Traduction Deepl depuis l'allemand : ] "Dans sa conclusion, la juge a été très claire : En ce qui concerne la publication de la photo sur Facebook, elle a confirmé la violation du droit à l'image. Toutefois, elle a estimé que l'acte était trop mineur en raison de la courte période pendant laquelle la photo était accessible au public. Elle a tout de même considéré que les termes "enculeur d'animal" et "stupide" constituaient une insulte, même s'ils ne constituaient pas une diffamation ou une calomnie.
Dans l'ensemble, la procédure a été suspendue en raison de l'insignifiance de l'affaire, d'autant plus que Monsieur W. n'avait jamais fait l'objet de poursuites pénales auparavant ; toutes les parties au procès se sont mises d'accord sur ce point. En fin de compte, l'ordonnance pénale contre M. W. a donc été annulée et la présomption d'innocence est maintenue. L'amende de 500 euros infligée précédemment a également été annulée." Vous pouvez retrouver l'histoire complète en allemand ici : https://blog.zeta-verein.de/2012/11/von-der-kunst-zu-gewinnen-und-trotzdem-zu-verlieren/
Je croise les doigts pour que la même chose ne se produise pas en France.
 
Ouais mais je garde des doutes pour ma part.
Surtout que d après les écris de AZF.
Benoît Thome ne s assume pas.
Mais quel manche à couille cette personne, comment il peut se regarder dans un miroir.
 
Bon, c'est un peu le téléphone arabe, mais je crois avoir compris pourquoi il a été raconter des grosses conneries à son procès.
C'est juste un crétin, mais je vais tenter de développer un peu.

Je crois que ce qu'il s'est passé, c'est que son avocate lui a dit "y a pas de preuve que vous étiez chef de la publication alors si on vous demande, dites pas que vous l'étiez".
Et, comme il a que 2 neurones et demi, il s'est dit "faut pas que je dise que j'étais le chef, donc si on me demande, je dirais que je n'étais pas le chef de la publication !"
Et voilà comment on arrive à une aberration, où si y a un appel il est mort, car il sera très simple de montrer qu'il était le chef de la publication et qu'il a raconté de la merde.

Je ne pense pas que ce soit possible qu'une avocate renommée comme Hélène Thouy puisse inciter son client à mentir à la barre d'un tribunal.
Mais bon, après tout, on est pas à ça prêt du côté de la "protection animale" :)
 
Rien à voir avec le blog mais aux nouvelles il y a une plainte déposée par Benoit Thomé contre au moins une personne pour Zoophilie et éventuellement une enquête nationale Publique sur la Zoophilie

Extrait du site AnimalZooFrance. https://www.animalzoofrance.com/wiki/Accueil
ATTENTION LES ZOZOS !!!
Faites attention, il y a un soupçon d'une enquête nationale sur la zoophilie par la justice.
C'est qu'un très faible soupçon, je n'y crois pas, mais on ne sait jamais, mieux vaut prévenir.
Il faut pas devenir parano, il faut juste savoir ce qu'on arrête pas de répéter :

  • Pas de photos ni de vidéos
  • Pas de SMS ou d'appel téléphonique
  • On use Télégram ( voir la page dédiée ) ou signal pour communiquer et on efface systématiquement ses conversations
C'est un réflexe de vie.
L'incertitude va durer quelques mois, jusqu'au mois d'octobre. Dès qu'on en sait un peu plus, on vous le fait savoir.
D'ici là, calins à vos poilus, et attention aux curieux.
Si vous avez des questions, envoyez moi un email :

A vrai dire je ne suis pas sur d'avoir compris le sens de ce qu'est une enquête nationale. Serait-ce le même qu'une enquête publique ?
Si une âme charitable peut m'éclairer, ça me fera super plaisir !
 
Pour l enquête nationale sa n'est pas confirmé mais je me pose aussi la question sur la différence entre enquête nationale et "privée"

Es que cette enquête seras bon ou mauvais pour nous.
Difficile à dire, surtout qu'il demande une enquête alors qu'il a déjà fait sa propre enquête ce gars là.
 
Les news ne seront plus mises sur le wiki tant qu'il n'y aura pas de décisions "finales" pour les diverses histoires en cours.

Pour l'histoire du dox :​

Thomé est passé au tribunal en juin, il était accusé de l'avoir publié.
Son avocate, Hélène Thouy, a expliqué que la loi sur le doxing ne pouvait s'appliquer, qu'il s'agissait d'une communication au public en ligne, et que l'ancienne loi sur la presse devait s'appliquer. Cette loi stipule que le responsable vis à vis de la loi d'un délit est le directeur de la publication, ou si on ne peut pas savoir qui c'est, l'auteur du délit.
Elle a expliqué que son client, Benoit Thomé, n'a pas avoué avoir fait le dox, qu'il en était pas au courant.
Elle a expliqué qu'aucune pièce du dossier ne mentionnait le nom du directeur de la publication au moment du dox, donc même si Thomé est l'actuel directeur de la publication, ce n'était pas forcément lui au moment des faits.
La question lui a été posée, il a dit qu'il y avait un directeur de la publication au moment des faits, que ce n'était pas lui et qu'il refusait de donner son nom.
Il a expliqué qu'il y avait une équipe de plusieurs personnes qui publiaient des articles sur le site.

Il n'a donc pas aidé la justice en refusant de donner le directeur de la publication au moment des faits et le nom de l'auteur du dox.
Un rapide tour sur Wayback machine prouve que c'était pourtant lui le directeur de la publication mais cette info n'était pas dans le dossier judiciaire.

Hélène Thouy se devait d'envoyer à la personne qui a été doxée les éléments qu'elle comptait verser au dossier judiciaire. Normalement chaque partie s'échange les pièces 3 à 4 semaines avant le procès. Là, elle a envoyé les pièces moins de 24h à la personne doxée, par email.
La personne n'a donc pas pu apporter d'éléments de preuves pour prouver que Thomé était bien le directeur de la publication au moment des faits.

Hélène Thouy demandait la relaxe (non condamnation) de Thomé, en se basant sur le fait qu'il n'y avait pas de preuve qu'il était l'auteur du texte ou le directeur de la publication.
Mais la justice fonctionne parfois bien, et elle a pris une réquisition pour obtenir les statuts de l'association Animal Cross afin d'identifier les personnes qui composent l'équipe de communication de l'association pour les auditionner. Elle a donné à la police jusqu'à janvier 2024 pour identifier le directeur de la publication au moment des faits ou l'auteur du texte.

Nul doute que Thomé refusera de collaborer, et il a déjà expliqué au procès que les décisions sur l'association étaient prises à l'oral et ne faisaient pas l'objet d'écrit Le Procureur a d'ailleurs bien insisté sur ce point au moment du procès.
Au procès, ce Procureur a d'ailleurs fait monter la pression au maximum pour que Thomé donne le nom du directeur de la publication, mais Thomé n'a pas cédé et s'est retranché dans son droit au silence pour ne pas répondre.

Choses intéressantes à noter, dans la justification du dox par Benoit Thomé, c'est qu'il a expliqué que cet interview lui paraissait très intéressante, venant d'une personne se déclarant être zoophile, et que ça paraissait "plus humain" de lier une identité à cet article.
Le Procureur lui a fait remarquer que dans ces cas là, on change l'identité, et on ajoute une note de bas de page "les identités ont été modifiées".
Benoit Thomé a été d'accord avec cette remarque, et a admis une grosse faute de son association dans la publication des coordonnées, même s'il a refusé d'aider la justice.
Suite à la question du Procureur, il a expliqué que le process de publication avait été revu pour éviter que cette erreur ne se reproduise, mais lorsque le juge a demandé quelles étaient les mesures prises, Thomé a expliqué que ces décisions, comme le reste, n'apparaissait pas dans les papiers de l'association, et ne sont que orales.

Pour l'histoire des menaces de mort :​

Hélène Thouy avait obtenu de la justice, en février 2023, que le matériel saisi et non accessible, parce que crypté, fasse l'objet d'un déchiffrement par le CTA, cellule dédiée à l'aide à la justice pour déchiffrer téléphones et disques durs.
Le matériel a été envoyé à cette cellule en février 2023, et en mars 2023, elle a retourné à la justice le matériel avec les données ayant pu être décryptées : certains disques dur professionnels cryptés par Bitlocker, un téléphone Huwahei (trouvant le schéma de déverouillage et le code associé).
Les disques cryptés avec Veracrypt n'ont pas pu être décryptés par le CTA.

Les données décryptées ont été envoyées en mars 2023 à un expert, à qui il a été donné un certains temps (probablement jusqu'à octobre 2023) pour rendre ses conclusions.
Ses recherches ne concernent que la recherche de preuves pour les menaces de mort.
Evidement, rien ne sera trouvé, et dès que l'expert aura rendu ses conclusions, une demande de restitution du matériel saisi sera faite.
Impossible de savoir si Thomé fera à nouveau appel de cette décision.
Pour rappel, la justice avait accordé la restitution du matériel en juin 2022, avant que Thomé fasse appel pour envoyer le matériel au CTA.
Chaque appel accepté semble rajouter un an, un an et demi à la procédure.

La procédure initiale a été ouverte en février 2021. Nous sommes en Juillet 2023 et aucune avancée n'a été faite pour les menaces de mort.
Par contre, Thomé a demandé à la justice, par la voix d'Hélène Thouy, d'ouvrir une instruction pour atteintes sexuelles en se basant sur les éléments recueillis pour les menaces de mort.
A ce jour, le Procureur de Pau n'a pas accepté cette demande.
Il pense probablement, à juste titre, que c'est un problème de lancer 6 mois d'écoutes téléphoniques, de faire des perquisitions, des saisis de matériel, et qu'au final aucune preuve pour les menaces de mort ne soient trouvée, qu'il y ai un non lieu pour ces personnes, et de les poursuivre en parallèle pour des faits qui n'ont rien à voir avec le motif initial, juste par opportunisme, alors même qu'il n'y a aucune preuve d'atteintes sexuelles sur animaux, juste des suspicions de Benoit Thomé !

Pour d'éventuelles plaintes pour atteintes sexuelles :​

Il n'y a pour le moment aucun retour, ni de la justice, ni de la police, sur d'éventuelles plaintes.
A son procès pour doxing, à Pau, Benoit Thomé a expliqué avoir porté plainte contre la personne doxée, sur la base de l'interview publiée.

Amir Boulal​

Pour rappel, c'est un journaliste du nom de Amir Boulal, alors étudiant en journalisme, qui était entré en contact avec le site AnimalZooFrance avec ce mail :
Bonjour,

Je me permets de vous contacter car je suis journaliste indépendant, et je réalise une enquête sur la zoophilie en France. Je sais qu’un de mes collègues vous a contacté quelques jours auparavant, et je comprends votre méfiance quant aux journalistes. Je tenais à vous rassurer, en vous informant que nous ne sommes pas là pour vous juger vous ou vos pratiques, mais uniquement pour vous donner la parole, car celle-ci compte !

Nous nous sommes entretenus avec le député Dimitri Houbron à ce sujet, et nous estimons que ce n’est déontologiquement pas correct de ne pas vous donner une chance de faire entendre vos revendications.

J’aimerai beaucoup pouvoir m’entretenir avec vous, tout en préservant votre anonymat.

Je vous laisse mes coordonnées, vous êtes libres de m’appeler à tout moment, en numéro masqué.

Amir Boulal
Etudiant en journalisme – IEJ Paris
Tel.:
+33 (0) 6 61 62 05 43
Une des personnes perquisitionnées en juin 2021 téléphonera à ce journaliste début juillet 2021 sans masquer son numéro de téléphone.
Dans la foulée, Amir Boulal appellera Benoit Thomé afin de lui expliqué avoir reçu un numéro de téléphone d'une personne s'étant présentée comme étant proche du site AnimalZooFrance et sur demande de Benoit Thomé, lui donnera le numéro de téléphone qui l'avait appelé.
Benoit Thomé croisera cette information avec les données des membres de son association afin de trouver l'identité et l'adresse de cette personne.
C'est lors du procès de Thomé à Pau en juin 2023 qu'il a donné cette information au juge pour expliquer l'origine des coordonnées de la personne doxée, que cette information avait rapidement le tour de l'association avant d'être publiée en ligne.

Vous vous demandez surement s'il n'y a pas un délit, le secret des sources ? Je ne sais pas vous répondre, pour le moment cette voix là n'a pas été recherchée. Amir Boulal est passé depuis par "Le Monde" et est aujourd'hui journaliste chez "Quotidien". Je ne pense pas qu'il soit judicieux d'aller le chatouiller.
Si quelqu'un de callé a des infos, qu'elle n'hésite pas à me contacter par email je transmettrais aux personnes concernées.

Le cas du Procureur de la République de Pau​

J'ignore combien il y a de Procureur au tribunal de Pau.
Mais Benoit Thomé s'est littéralement fait pourrir par le Procureur lors de son procès pour dox en juin dernier.
Comment ce Procureur pourrait également être celui qui s'occupe de l'affaire pour menace de mort, également suivie par le tribunal de Pau, donc par le Procureur de Pau.

Peut être que c'est un de ses substituts qui s'occupe des menaces de mort, je sais pas.
Mais c'est assez comique cette skyzophrénie de la part du Parquet de Pau.
Au moins, le Procureur a vu le véritable visage de cette association et de Benoit Thomé et son fonctionnement réel.
Nul doute que le Parquet réfléchira à 2 fois si Thomé s'amuse à déposer encore plainte à ce tribunal...
 
Last edited by a moderator:
Les nouvelles ont l'air d'être dans la bonne voix pour vous et que les choses se retourne contre Thomé et son association.
 
Depuis quelques jours je n'y arrive plus à accéder au site.
Sa fonctionne toujours de votre côté ?
 
Moi qui commençait à m'inquiéter du risque que le site disparaisse... J'espère que ce n'est que temporaire.
 
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