Saisie d'animaux dont on est pas propriétaire

[Han Solo]

La châtelaine, le maire et les défenseurs des animaux : depuis 6 ans, un village se déchire autour du sort de 250 chevaux et chiens

En 2019, la justice ordonnait la saisie de plus de 200 chevaux et chiens sur le domaine d'une Finlandaise installée à Cronat (Saône-et-Loire), en raison d'accusations de maltraitance. Six ans et de multiples rebondissements...

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Avec la châtelaine, partie de Cronat pendant plusieurs mois, sont aussi revenus des chevaux. Aucun, en revanche, qui lui appartienne. "Monica n'est ni détentrice, ni propriétaire d'animaux", défend Alexia. "Tous ceux qui se trouvaient au domaine appartiennent à d'autres personnes du coin." Lorsqu'ils sont de nouveau saisis, le 12 mai, "personne n'a rien voulu savoir, ils ont dit : 'on prend' alors que les propriétaires étaient présents."

 

[sanderling]

La système ordre-justice français est complétement vicié par les associations. J'en viens à préférer une privatisation de la PA à l'américaine.

 

[Big-Horsy]

Le système français est actuellement totalement "disfonctionnel". Il suffit de constater les résultats sur les abandons, les rendus de justisse ou les accompagnements inexistants de propriétaires qui auraient bien plus besoin d'une épaule pour les soutenir que d'un coup de bâton.
La France est actuellement le pire pays de l'Europe dans ce domaine. La logique voudrait qu'ayant pris conscience de cet état de fait l'on change d'approche et de méthode ?
Et bien non, La France forte de sa morale à 2 balles persiste et s'enfonce dans une doctrine moyen-âgeuse de répression moraliste totalement inefficace sur le terrain mais tellement plaisante aux "bien-pensants ".

Bravo ! : /

 

[Pinkunicorn]

Avec la châtelaine, partie de Cronat pendant plusieurs mois, sont aussi revenus des chevaux. Aucun, en revanche, qui lui appartienne. "Monica n'est ni détentrice, ni propriétaire d'animaux", défend Alexia. "Tous ceux qui se trouvaient au domaine appartiennent à d'autres personnes du coin." Lorsqu'ils sont de nouveau saisis, le 12 mai, "personne n'a rien voulu savoir, ils ont dit : 'on prend' alors que les propriétaires étaient présents."