[Fait divers] 2 mois de prison pour avoir léché la vulve d'une chienne

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BojackFR

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Le jugement a eu lieu hier.
2 mois de prison pour avoir léché la vulve d'une chienne et avoir mis son pénis à côté de sa gueule.


Varaville. Actes de zoophilie sur une chienne : le prévenu condamné
Faits Divers. Un homme engagé dans la protection animale a comparu, jeudi 17 mars, devant le tribunal correctionnel de Caen. Il était accusé d'actes de zoophilie sur une chienne, à Varaville, en 2019.

Publié le 18/03/2022 à 15h08

L'homme a confessé tous les faits qui lui étaient reprochés devant le tribunal.
Accusé d'actes de zoophilie, l'ancien vice-président d'une association de protection animale comparaissait devant le tribunal correctionnel de Caen, jeudi 17 mars. Le prévenu a tout d'abord été jugé pour détention de photos pédopornographiques et exhibition sexuelle. Puis pour des actes de zoophilie.

Une personnalité dénuée de honte
Jugé pour deux affaires différentes, le procès du prévenu, dont la personnalité a occupé une place importante, a été divisé en deux parties.
Plusieurs analyses psychologiques et psychiatriques indiquaient que le prévenu présentait "une organisation perverse dénuée de honte et de gêne". Lors de son audition à la barre, l'homme reconnaît l'ensemble des faits qui lui sont reprochés. Il confesse avoir écarté et léché la vulve de Choupinette, chienne de type braque appartenant à sa compagne de l'époque, et avoir situé son pénis au niveau de la gueule de l'animal contre son gré. Le pénis n'ayant pas pénétré dans la gueule de la chienne, les magistrats ont jugé que le viol ne pouvait pas être reconnu.
L'homme témoigne avoir "fait ce geste par curiosité" et "pulsion sexuelle".

Pour cette affaire de zoophilie, le prévenu écope d'une peine de prison de deux mois assortie d'un sursis probatoire de deux ans ainsi que d'une interdiction à vie de détenir un animal. Dans le cadre de la détention de photos pédopornographiques et exhibition sexuelle, il est condamné à un an d'emprisonnement avec sursis probatoire de deux ans ainsi qu'à une obligation de soins. Des sommes allant de 300 € à 1 000 € devront être versées aux parties civiles. L'une d'elles a toutefois ajouté qu'elle réfléchissait "à faire un recours en appel". L'avocat de la défense précise : "La peine donnée est satisfaisante pour le prévenu, la société et les victimes. Un appel ne devrait pas avoir lieu."
 
L’histoire est glauque. Le monsieur a pris 2 mois de sursis pour un acte sans pénétration antérieur au passage de la nouvelle loi ! Légalement, il aurait dû prendre zéro pour l'aspect zoo. Morale : ne jamais prendre de photographie ni de vidéo, car elles peuvent vous exploser à la gueule plus tard.
 
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