Rapport français sur la pornocriminalité

Junior22

Zooville Settler

Je suis tombé dessus dans un article et avant même de l'avoir lu je n'étais pas très convaincu. Le journaliste parlait d' "acte de barbarie" ou autre, je trouvais cela assez excessif. Puis je me suis dit, "bon je vais quand même jeter un oeil au rapport". Une vingtaine de pages plus tard je me suis rendu compte que, parmi tout ce que je ne regarde jamais, il y a bien des trucs carrément glauques, illégaux même, que l'on trouve dans les premiers sites trouvés.

Pour s'en rendre compte, il suffit de lire les titres cités par le rapport :
- « War Porn : Russian Soldier Have No Mercy For Ukrainian Girl »
- « Ça fait mal ! C’est trop profond ! Little Bunny s’étouffe et se fait baiser »

Au final, je trouve que le rapport vaut le détour.

À ce sujet, je trouve qu'il y a le même problème avec la pornographie animale. Un gros plan sur des fesses de jument, et sur le pénis les pénétrant, ça n'a jamais été mon truc. Alors oui, c'est plutôt sympa, mais ça va deux minutes. Des caresses ? Bisous ? La tête, le reste du corps du cheval ? Je comprends, les lois en vigueur ne permettent pas de montrer sa tête, ou celle de l'animal. Mais il y a des vidéos, ou par moment on voit l'animal dans son entièreté, mais on sent que la personne qui filme s'en fiche, et alors l'animal sera réduit à son trou du cul, l'humain à son pénis, et l'acte à un froid va-et-vient mal cadré. À quoi ça sert ?
 
Le porno ne reflète pas la réalité.
C'est dommage pour le porno zoo puisqu'on se retrouve avec des miettes de moments érotiques secrets (Encore que comme tu dis c'est necessaire pour la sécurité des personnes qu'on puisse pas les identifier)
Et apparemment, c'est tragique lorsque du coup on fait des saloperies à des actrices/eurs pour satisfaire des kinks d'internautes.

Je dois avouer que je ne me suis pas penché sur ce dossier outre mesure.
Les conditions des actrices et acteurs pornos sont pas réputées faciles à ma connaissance, du coup j'ai été agréablement surpris d'être plutot d'accord avec un produit des institutions de l'état sous macron.
En outre, le texte parle peu de la zoophilie. le cas échéant, le tetxe parle surtout d'actes sexuels sous contrainte.
J'irais pas jusqu'à dire qu'ils se calment, mais je me réjouis quand même un peu qu'ils saisissent pas l'occasion pour nous chier dessus au passage.
 
En outre, le texte parle peu de la zoophilie. le cas échéant, le tetxe parle surtout d'actes sexuels sous contrainte.
Le seul propos zoophilique du rapport est celui sur Lovelace. Dans ses livres, Linda raconte qu'elle a tourné cette scène en 1971 à New York sous la contrainte. Vous remarquerez que l'actrice Bodil qui a tourné le film « un jour d'été » au Danemark la même année 1971 n'est pas cité parce qu'elle était consentante. Pour les féministes à l'origine de ce rapport, un porno zoophilique ne peut être autre chose que l'expression d'un rapport de domination masculine…
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