Junior22
Zooville Settler
Hey salut tout le monde,
Les plus anciens ou informés d'entre-vous connaitrons très certainement ces travaux. Je tenais à faire ce poste pour celles et ceux qui trouvent les lois anti-zoo profondément injustes mais qui ont eu comme moi du mal à exprimer ce sentiment sous forme d'arguments. Alors on se sent seul dans ses pensées, on ne comprend pas que les autres ne pensent différemment alors que cela nous paraît évident.
Quelque chose qui m'a aidé, c'est de découvrir que l'on est pas seul à penser comme cela, à saisir et comprendre l'injustice dont nous sommes victimes. Alors je me suis dit que cela pouvait intéresser celles et ceux d'entre-vous qui ne connaissent pas encore ces travaux, d'au moins pouvoir se dire qu'ils sont là pour contester les fondements de ces lois scélérates. Je ne partage donc ici que des articles évoquant les aspects juridiques.
Il y a donc :
- Protection légale des animaux ou paternalisme ? Marcela Iacub, 2011. - L'incrimination de la zoophilie, Maeva Gallimard, 2019.
J'en profite aussi pour mentionner quelques travaux en anglais ayant critiqué des lois anti-zoo dans d'autres pays :
- The Unjustified Prohibition Against Bestiality:Why the Laws in Opposition Can Find No Support Under the Harm Principle, Michael Roberts, 2009 (L'interdiction injustifiée de la bestialité : pourquoi les lois s'y opposant ne trouvent aucune justification dans le principe de souffrance).
- The bestiality proscription: in search of a rationale, Antonio M. Haynes, 2014 (L'interdiction de la bestialité : à la recherche d'une justification).
- The Philosophical Implications of Zoophilia : a Reponse to Peter Singer and its Critics, Stefan Andreas Kiraly, 2003 (Les implications philosophiques de la zoophilie : une réponse à Peter Signer et à ses détracteurs).
Ça ne paraît pas beaucoup, mais pour un sujet de niche comme le notre, c'est déjà pas mal, et autant dire que je suis loin de les avoir toutes trouvées. De mémoire, Michael Roberts, actuellement avocat pénaliste, avait obtenu un A+ pour son travail (meilleure note possible), mais les journeaux de droit américain ont refusé de publier son excellent travail, non pas par manque de qualité, mais car le sujet en lui même était jugé trop controversé.
Rechercher, écrire, publier sur la zoo est très compliqué. On doit beaucoup à ces auteures.
Bon week-end
Les plus anciens ou informés d'entre-vous connaitrons très certainement ces travaux. Je tenais à faire ce poste pour celles et ceux qui trouvent les lois anti-zoo profondément injustes mais qui ont eu comme moi du mal à exprimer ce sentiment sous forme d'arguments. Alors on se sent seul dans ses pensées, on ne comprend pas que les autres ne pensent différemment alors que cela nous paraît évident.
Quelque chose qui m'a aidé, c'est de découvrir que l'on est pas seul à penser comme cela, à saisir et comprendre l'injustice dont nous sommes victimes. Alors je me suis dit que cela pouvait intéresser celles et ceux d'entre-vous qui ne connaissent pas encore ces travaux, d'au moins pouvoir se dire qu'ils sont là pour contester les fondements de ces lois scélérates. Je ne partage donc ici que des articles évoquant les aspects juridiques.
Il y a donc :
- Protection légale des animaux ou paternalisme ? Marcela Iacub, 2011. - L'incrimination de la zoophilie, Maeva Gallimard, 2019.
J'en profite aussi pour mentionner quelques travaux en anglais ayant critiqué des lois anti-zoo dans d'autres pays :
- The Unjustified Prohibition Against Bestiality:Why the Laws in Opposition Can Find No Support Under the Harm Principle, Michael Roberts, 2009 (L'interdiction injustifiée de la bestialité : pourquoi les lois s'y opposant ne trouvent aucune justification dans le principe de souffrance).
- The bestiality proscription: in search of a rationale, Antonio M. Haynes, 2014 (L'interdiction de la bestialité : à la recherche d'une justification).
- The Philosophical Implications of Zoophilia : a Reponse to Peter Singer and its Critics, Stefan Andreas Kiraly, 2003 (Les implications philosophiques de la zoophilie : une réponse à Peter Signer et à ses détracteurs).
Ça ne paraît pas beaucoup, mais pour un sujet de niche comme le notre, c'est déjà pas mal, et autant dire que je suis loin de les avoir toutes trouvées. De mémoire, Michael Roberts, actuellement avocat pénaliste, avait obtenu un A+ pour son travail (meilleure note possible), mais les journeaux de droit américain ont refusé de publier son excellent travail, non pas par manque de qualité, mais car le sujet en lui même était jugé trop controversé.
Rechercher, écrire, publier sur la zoo est très compliqué. On doit beaucoup à ces auteures.
Bon week-end
Last edited:
