Junior22
Zooville Settler
Hey,
Certains d'entre vous devez connaitre cette étude mais pour ceux dont ce ne serait pas la cas et qui sont friant de ce genre de lecture, je vous la recommande, ça vaut le détour ; il s'agit de Littérature et réalité; une étude sur la zoophilie et la bestialité par Fannie Allard, vous retrouverez le lien du pdf complet ci-dessous que j'ai trouvé par une simple recherche internet, sinon j'ai ajouté une entrée dans l'onglet "Articles & Blogs".
Dans cette étude, Fannie Allard nous offre une lecture objective de plus de 40 ans de recherche sur la zoo ainsi qu'évaluation du phénomène sur base d'un total de 440 participants pour 227 zoophiles.
Certains d'entre vous devez connaitre cette étude mais pour ceux dont ce ne serait pas la cas et qui sont friant de ce genre de lecture, je vous la recommande, ça vaut le détour ; il s'agit de Littérature et réalité; une étude sur la zoophilie et la bestialité par Fannie Allard, vous retrouverez le lien du pdf complet ci-dessous que j'ai trouvé par une simple recherche internet, sinon j'ai ajouté une entrée dans l'onglet "Articles & Blogs".
Dans cette étude, Fannie Allard nous offre une lecture objective de plus de 40 ans de recherche sur la zoo ainsi qu'évaluation du phénomène sur base d'un total de 440 participants pour 227 zoophiles.
Voici la conclusion : (cf. page 84)
"En conclusion, l’étude avait pour but de comparer un échantillon zoophile à un échantillon contrôle avec l’hypothèse qu’il y aurait davantage de symptômes psychosociaux négatifs observables chez le groupe zoophile. Globalement, les résultats obtenus ne soutiennent pas l’hypothèse annoncée, mais des différences entre les groupes ont tout de même été observées. D’ailleurs, même s’il y avait davantage de similitudes que de différences entre les groupes, les différences observées n’étaient pas celles anticipées par les chercheurs. Dans l’ensemble, les résultats obtenus dans la présente étude allaient dans le même sens que les résultats de Miletski (2002), Beetz (2002) ainsi que de Earls et Lalumière (2009) et ont mis en évidence que lorsque comparées à un groupe contrôle, les personnes ayant des contacts sexuels avec des animaux étaient souvent éduquées et socialement bien adaptées, voire même mieux adaptées sur certaines variables. Comme il s’agissait de la première étude comparant un groupe zoophile à un groupe contrôle, les résultats devront être reproduits par d’autres chercheurs, mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit de résultats préliminaires intéressants."
Je dois encore finir de la lire, mais il y a beaucoup de choses intéressantes et de ce que j'ai eu l'occasion de lire, ce qui semble faire sa qualité, c'est son approche très objective."En conclusion, l’étude avait pour but de comparer un échantillon zoophile à un échantillon contrôle avec l’hypothèse qu’il y aurait davantage de symptômes psychosociaux négatifs observables chez le groupe zoophile. Globalement, les résultats obtenus ne soutiennent pas l’hypothèse annoncée, mais des différences entre les groupes ont tout de même été observées. D’ailleurs, même s’il y avait davantage de similitudes que de différences entre les groupes, les différences observées n’étaient pas celles anticipées par les chercheurs. Dans l’ensemble, les résultats obtenus dans la présente étude allaient dans le même sens que les résultats de Miletski (2002), Beetz (2002) ainsi que de Earls et Lalumière (2009) et ont mis en évidence que lorsque comparées à un groupe contrôle, les personnes ayant des contacts sexuels avec des animaux étaient souvent éduquées et socialement bien adaptées, voire même mieux adaptées sur certaines variables. Comme il s’agissait de la première étude comparant un groupe zoophile à un groupe contrôle, les résultats devront être reproduits par d’autres chercheurs, mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit de résultats préliminaires intéressants."