Comment vous sentez-vous vis à vis de votre sexualité ?

Enfin voilà, en résumé, je ne supporte pas l'humanité actuelle, et je me sens prisonnière d'un monde qui me dégoûte, mais par contre je vis très bien ma "solitude".
J'entretiens des relations plutôt distantes avec ma famille. Bien qu'elles soient présentes, il manque une véritable sincérité et confiance entre nous. Récemment, une succession a ouvert les yeux sur la véritable nature de certaines personnes au sein de la famille.

D'un côté, je recherche la solitude, mais paradoxalement, je me retrouve souvent à initier ou à participer à des projets nécessitant le travail d'équipe.
Mais le fait d'être seul m'effraie un peu, car en cas d'accident grave me concernant, je me demande qui pourrait prendre soin et retrouver ceux que j'aime, étant donné que je ne serais plus là pour m'en occuper et qu'il faudra du temps peut être pour savoir que je ne suis plus vivant.
 
@Equine_Star je suis bien d'accord qu'il existe des personnes bienveillantes, mais elles sont rares ou très discrètes.
Pour éviter les déceptions, le mieux n'étant de pas idéaliser.

@Wolfnyx justement je voulais pas être dans cette situation, famille distante qui s'entend pas super bien.
Pour ma part c'est tout ou rien, donc j'ai préféré couper définitivement les ponts, faire comme si ma famille n'existait plus, et c'est ainsi que je le vis le mieux.

La peur de la mort ou de l'accident est compréhensible, surtout que l'on sait très bien que c'est un événement imprévisible, mais je pense qu'il faut se détacher de ça pour vivre heureux et profiter pleinement de la vie.
 
J'entretiens des relations plutôt distantes avec ma famille. Bien qu'elles soient présentes, il manque une véritable sincérité et confiance entre nous. Récemment, une succession a ouvert les yeux sur la véritable nature de certaines personnes au sein de la famille.

D'un côté, je recherche la solitude, mais paradoxalement, je me retrouve souvent à initier ou à participer à des projets nécessitant le travail d'équipe.
Mais le fait d'être seul m'effraie un peu, car en cas d'accident grave me concernant, je me demande qui pourrait prendre soin et retrouver ceux que j'aime, étant donné que je ne serais plus là pour m'en occuper et qu'il faudra du temps peut être pour savoir que je ne suis plus vivant.
C'est souvent à la succession que ça se passe...
 
Je n'ai pas eu de mauvaise expérience, mais j'ai découvert le vrai visage faux-cul de certaines de mes connaissances (amis comme famille).

Sans avoir eu besoin de parler de zoo, d'autres sujets font presque le même effet, comme l'homosexualité, la non envie de vouloir des enfants, et même certains choix politiques en rapport à l'actualité.

Quand tu es face à des personnes qui te jugent de fermé d'esprit, rebelle, qui n'a aucune empathie, et d'être d'un égoïsme égocentrisme puissance 1 000, et qu'après tu apprends que ces mêmes personnes parlent dans ton dos, et te chient à la gueule en te rabaissant + bas que terre, ça m'a conforté dans ma directive de n'en parler à personne, de faire un tri.

Les gens toxiques m'insupportent au + haut point, et comme je n'ai pas ma langue dans la poche, ça partait en embrouilles où je disais le fond de ma pensée, ce qui froissait leurs petits égos de prétentieux.

Au moins aujourd'hui je suis tranquille, et en paix avec moi-même, sans avoir à me poser 36 milliards de questions.
Je fais ce que je veux, où je veux, avec qui je veux, et comme je veux, sans devoir me justifier.

Je connais ça aussi, être une meuf célibataire, sans enfants (ni projet d'en avoir), être jeune mais avoir peu d'amis, ne pas sortir, avoir cette réputation de "belle meuf" que l'on voit toujours seule, ce qui signifierait que je serais une accro aux plans sexe à outrance (vu que je n'ai jamais présenté de chéri à ma famille), être "trop secrète" sur toutes les facettes de ma vie, bah oui je m'étale pas à faire ma calimero, passer pour une parano chelou parce que j'utilise linux, je suis constamment en navigation privée, je critique sans cesse les gafam, être réaliste et honnête pose problème dans cette société.

Enfin voilà, en résumé, je ne supporte pas l'humanité actuelle, et je me sens prisonnière d'un monde qui me dégoûte, mais par contre je vis très bien ma "solitude".
je comprends parfaitement et je t'envoie des bonnes pensées. La liberté est une chose sans prix et je me demande souvent pourquoi les gens autour de nos se permette de juger ou de décider ce qui est bon ou pas pour nous. En tous cas ca fait du bien de pouvoir parler avec les autre ici! Passe une belle journée.
 
J'entretiens des relations plutôt distantes avec ma famille. Bien qu'elles soient présentes, il manque une véritable sincérité et confiance entre nous. Récemment, une succession a ouvert les yeux sur la véritable nature de certaines personnes au sein de la famille.

D'un côté, je recherche la solitude, mais paradoxalement, je me retrouve souvent à initier ou à participer à des projets nécessitant le travail d'équipe.
Mais le fait d'être seul m'effraie un peu, car en cas d'accident grave me concernant, je me demande qui pourrait prendre soin et retrouver ceux que j'aime, étant donné que je ne serais plus là pour m'en occuper et qu'il faudra du temps peut être pour savoir que je ne suis plus vivant.
Pour ma famille je be suis pas super proche tout le temp non plus. Mais, quand j'ai besoin, ils sont toujours la. Mon chien était tomber malade et je travaillle a l'extérieu... ma soeur est venu passer une semaine avec lui pour le soigner, et je savais que je pouvais lui faire comfiance. J'imagine que mon gros a sûrement fait des avances, on a fait des farces avec ca mais malaise... Je ne ressent pas le besoin de parler de mon kink avec ma famille ça serait vraiment trop wierd.
 
ma soeur est venu passer une semaine avec lui pour le soigner
J'aurais aimé pouvoir compter sur ma famille de la même façon. Pour moi, ce genre de soutien serait inestimable. Actuellement, j'ai des soins personnels à faire en millieu hospitalier, mais je les repousse car je ne veux pas m'éloigner de mes fidèles compagnons et leur faire subir pour certains a nouveau le sentiment d'abandon.
 
J'aurais aimé pouvoir compter sur ma famille de la même façon. Pour moi, ce genre de soutien serait inestimable. Actuellement, j'ai des soins personnels à faire en millieu hospitalier, mais je les repousse car je ne veux pas m'éloigner de mes fidèles compagnons et leur faire subir pour certains a nouveau le sentiment d'abandon.
moi je fais des run je le fais garder dans un chenil avec plein d'amis il est heureux comme ca. Quand tu prend le temps et un petit risque, tu peux trouver de l'aide sagit de choisir le bon endroit. Au début il capotait mais ca pas trop durer longtemp. Elle lui font predre des marche, baigner, jouer... je l'aime mais ca reste un chien ca ne pense pas comme nous il va chigner un jour ou 2 au pire, ca se peut qu'elles les aiment autant que toi... je crois pas que ce soit si rare qu'on le pense:gsd_grin:
 
Pour ma part c'est assez difficile , quand on voit comment le sujet est perçu par la société on peut que se sentir seul , ne pas pouvoir en parler réellement est assez dur . Et puis je me pose aussi beaucoup de questions sur ma psychologie , est-ce que je vais bien mentalement ? Est-ce que je suis malade ? Et puis il y a le dilemme de l'acceptation , d'assumer ce que je suis , bref c'est assez brouillon , comme ce thread d'ailleurs . Si vous avez des conseils de tout type je suis preneur , merci d'avance et merci d'avoir soulevé la question .
 
Hello à tous,

Le sujet à probablement été abordé maintes et maintes fois, mais j'aimerai recueillir de témoignages de personnes vivant avec la même attirance que moi envers les animaux. Comment vous sentez-vous ?

Parfois je trouve cela difficile de se dire qu'on est différent, que nous sommes vus comme les pires raclures de la société, alors qu'au fond je pense n'avoir même pas décidé de ce qui m'attirait ou non, cela s'est juste présenté à moi comme une évidence contre laquelle je ne pouvais pas luter.

Je n'ai jamais osé en parlé à personne, a part une fois, à une petite amie quand j'étais jeune avec qui j'étais très proche. Elle a très bien réagit et nous avions même regardés quelques fois des vidéos zoo sur internet. Trop pudique, je n'ai jamais poussé la chose plus loin où même vraiment passer à l'acte.

Je ne suis pas non plus en contact avec aucun autre zoophile, j'aurai beaucoup de craintes sur la confidentialité de notre rencontre, mais peut être que cela aiderait à se sentir moins 'seul'.

J'ai aussi pensé à en parler avec un psychologue, mais je doute que ce soit une bonne idée...

Voilà, topic un peu décousu... Si vous avez des tips ou si vous voulez témoigner je serai ravis de vous lire
Pour nous c’est une réponse personnelle si un chien monte une femme il en a envie mais un homme qui monte une chienne il a pas sont accord c’est juste personnel
 
Perso je suis passée par plusieurs étapes
Maintenant plus de soucis niveau acceptation ou question..
Sinon sentiment de solitude c'est certain, jamais partagé avec qui que ce soit, c'est pour ma part trop risqué, qu'on le veuille ou non cela reste illégal donc les conséquences peuvent aller loin
C'est pourquoi j'ai toujours joué la sécurité à 100% aucun risque inutile
En contrepartie c'est vrai que ce n'est pas évident à gérer, à côté de ça comme je ne suis pas zoo exclusif, j'ai eu des relations avec des partenaires (f) mais je n'ai jamais abordé le sujet
Ça c'est un manque réel, au bout d'un moment seul devant son pc, sur le forum, tu as vite fait le tour, ça devient pesant, tu as l'impression d'avoir tout vu, tout regardé, lu tous les articles etc...
 
Moi ici j'ai passe par le dénie! En me disant que c'était mal pas normal et non acceptable... Malgré tous mes efforts pour refouler cette facette tres importante de ma personnalité au lieu de l'accepter (c'est une orientation car je suis exclusivement zoo), j'avais des (rechutes) aussitot que l'occasion se présentait aussi je n'ai jamais réussi a passer a l'acte avec un humain h ou f. Aujourd'hui, je l'accepte et reste très discret mais, un h de 40 qui n'as pas de femme ni d'enfant se fait poser des questions. Je suis rendu a un point ou je suis vraiment ecoueurer et j'ai le goût de m'isoler pour eviter d'avoir a me justifier. Malgré tout ca, j'aime mon partenaire plus que tout et j'essaye de m'exprimer un peu sur ce forum, peut-etre ca peut me faire du bien car, moi j'ai décidé de m'accepter comme je suis meme si mon entourage ne pourra jamais comprendre surtout pas la loi.
Tu touches un point important. A partir d'un certain âge les gens se posent des questions si un homme n'a pas de partenaire. La zoo n'est probablement pas la première hypothèse qui vient à l'esprit mais on est catalogué comme suspect (au mieux gay refoulé, au pire pédophile potentiel).
 
Tu touches un point important. A partir d'un certain âge les gens se posent des questions si un homme n'a pas de partenaire. La zoo n'est probablement pas la première hypothèse qui vient à l'esprit mais on est catalogué comme suspect (au mieux gay refoulé, au pire pédophile potentiel).

Alors que bien souvent on aime juste notre liberté et notre vie et on à pas besoin de quelqu'un pour vivre heureux.
Mais bon la société à tellement bouffer le cerveaux des gens, en leurs disant la vie parfaite un homme, une femmes, des gosses ....
 
Tu touches un point important. A partir d'un certain âge les gens se posent des questions si un homme n'a pas de partenaire. La zoo n'est probablement pas la première hypothèse qui vient à l'esprit mais on est catalogué comme suspect (au mieux gay refoulé, au pire pédophile potentiel).
exactement et c'est un peu pourquoi les gens associe souvent le pire avec les zoophiles, c'est de l'incompréhension. J´entend meme certains gay, qui sont presentement mieux accepter, se permet de nous juger comme des personnes dégoûtante qui maltraite nos animaux. Je veux pas partir un debat mais, ce n'est pas plus "naturel ou conventionnel" leur sexualité... et moi je l'accepte. Dans ma jeuness, les gay étaient souvent associés a des pedo... c'etait un moyen pour les gens de stigmatiser la différence. Malheureusement pour nous c'est comme les années 1940 pour les lsbg.


Je suis différent et fier de l'être, meme si malheureusement je dois être extrêmement vigilant et discret...en espérant un jour que les humains puissent nous accepter.
 
exactement et c'est un peu pourquoi les gens associe souvent le pire avec les zoophiles, c'est de l'incompréhension. J´entend meme certains gay, qui sont presentement mieux accepter, se permet de nous juger comme des personnes dégoûtante qui maltraite nos animaux. Je veux pas partir un debat mais, ce n'est pas plus "naturel ou conventionnel" leur sexualité... et moi je l'accepte. Dans ma jeuness, les gay étaient souvent associés a des pedo... c'etait un moyen pour les gens de stigmatiser la différence. Malheureusement pour nous c'est comme les années 1940 pour les lsbg.

Je partage ta frutration quant à la position de certains membres de la communauté LBGT relativement à la Zoo. Après au final, cela montre simplement que qui que l'on soit on peut être impacté par de la propagande.

Le tout c'est de ne pas se laisser abattre par la haine ! En tout cas c'est vraiment super que tu aies réussi à t'accepter comme tu es. Quoi qu'en disent les autres, on a le droit de vivre heureux et d'être fiers de qui nous sommes.
 
Hello à tous,

Le sujet à probablement été abordé maintes et maintes fois, mais j'aimerai recueillir de témoignages de personnes vivant avec la même attirance que moi envers les animaux. Comment vous sentez-vous ?

Parfois je trouve cela difficile de se dire qu'on est différent, que nous sommes vus comme les pires raclures de la société, alors qu'au fond je pense n'avoir même pas décidé de ce qui m'attirait ou non, cela s'est juste présenté à moi comme une évidence contre laquelle je ne pouvais pas luter.

Je n'ai jamais osé en parlé à personne, a part une fois, à une petite amie quand j'étais jeune avec qui j'étais très proche. Elle a très bien réagit et nous avions même regardés quelques fois des vidéos zoo sur internet. Trop pudique, je n'ai jamais poussé la chose plus loin où même vraiment passer à l'acte.

Je ne suis pas non plus en contact avec aucun autre zoophile, j'aurai beaucoup de craintes sur la confidentialité de notre rencontre, mais peut être que cela aiderait à se sentir moins 'seul'.

J'ai aussi pensé à en parler avec un psychologue, mais je doute que ce soit une bonne idée...

Voilà, topic un peu décousu... Si vous avez des tips ou si vous voulez témoigner je serai ravis de vous lire
Bonsoir Kazir... je ne suis pas Français mais je le parle, je suis originaire des Pyrénées Aragonaises.

Je viens d'époques très lointaines... Depuis que je suis enfant, j'ai grandi dans une ferme et je croyais à cette époque que je pouvais communiquer avec les animaux à travers les regards, caresse, et les murmures. Quand j'ai grandi, il était inévitable que je maintienne mon premier relation avec un animal jusqu'à l'âge très pubère. Je savais déjà à cette époque que ce serait un tabou pour la vie.

Mais à la fin des années 70 et au début des années 80, ce qui était populaire en Espagne, c'était d'être très "machito", alors j'avais une petite amie (qui ressemblait à un garçon) avec qui je menais une vie parallèle, combinant mon amour pour les animaux avec plus d'affection que d'amour envers elle.
Le temps a passé sans aucun problème éthique, nous étions tous les deux ouverts d'esprit, les années 80 étaient des années très folles et très heureux, mais je ne lui en ai jamais parlé...

Elle est décédée dans un accident de voiture, pour a donc vécu un mauvais moment per moi, un chagrin terrible et un certain pourcentage de sentiments de culpabilité et de déception ; mais le temps guérit tout, et j'ai toujours eu des animaux à proximité qui me consolaient (je ne parle pas de l'aspect sexuel, mais de l'amour, de l'affection et des sentiments.)

Dans les années 90, je me suis remis de leur perte et je m'en souviens comme d'un moment très heureux et magique avec les animaux, c'était comme un cadeau, avoir le privilège d'entrer en communion d'esprit et amour en symbiose avec une autres espèces.

je devenais mature, et je voulais rayer des choses de ma liste, donc avec le proto-internet j'ai rencontré de nouvelles personnes avec des goûts similaires, la majorité étaient des hommes, et j'avoue que les animaux mâles et femelles m'attiraient aussi per moi, alors je me suis dit , pourquoi pas ?, et j'ai commencé à rencontrer des hommes, d'abord gays ou bisexuels, et plus tard avec beaucoup de prudence et de discrétion des hommes qui étaient des zoozos.

J'ai eu une longue relation avec un autre homme avec qui nous avions planifié un avenir possible ensemble, mais après environ sept ans, la relation s'est rompue, un autre coup dur pour moi. Je n’avais pas peur des mauvaises actions à mon encontre, nous étions tous les deux dans le même bateau et je ne suis pas une personne (lui non plus) malveillante.

J'ai toujours penché davantage vers l'exclusivité zoozo, mais encore et récemment, un autre homme avec un avenir possible est apparu. Mais je suis pratiquement un zoozo bi-exclusif.

Je suis né dans les années 60, et mon train s'est enfui il y a longtemps pour moi, pour ces choses sur les relations humaines, mais on ne peut jamais savoir ce que l'avenir nous réserve.

Portez-le sereinement et avec une certaine dignité éthique personnelle. Soyez prudent et n'en discutez pas avec quelqu'un en dehors duquel vous ne savez pas comment il va réagir, apprenez progressivement à connaître les gens et leurs tempéraments, soyez un éthologue anthropologue.

Bon courage, vous êtes jeune, la vie vous donnera de nombreuses claques, mais pas forcément parce que vous êtes de cette tendance exclusive.

Moi meilleurs voeux.
 
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